A propos
Depuis ma plus tendre enfance, j’ai toujours été très proche des autres, à l’écoute de leurs besoins.
A l’âge de neuf ans, alors que j’étendais des draps blancs avec ma mère dans le jardin, je fus prise d’une surdité soudaine qui conduisit ma mère à m’emmener chez un magnétiseur. Celui-ci lui affirma que l’audition reviendrait d’ici quelques jours, en étendant à nouveau du linge blanc, et que j’avais certainement « reçu quelque chose ». En effet, quinze jours après, en étendant à nouveau des draps dans le jardin, je me mis à entendre de nouveau, clairement. Trois ans plus tard (12 ans), je pris conscience que j’entendais des voix, comme si on me parlait de façon lointaine et c’était extrêmement perturbant. A cette époque-là, j’étais d’ailleurs très attirée par la voie mystique, au point de songer à rentrer dans les Ordres. Suite à cette période, j’ai envisagé très sérieusement de poursuivre des études de médecine, mais cela ne me fut pas permis.
J’ai continué ma vie, toujours habitée par ce profond désir d’aider les autres,
et des années plus tard, j’eus l’opportunité de m’installer en tant que medium-magnétiseuse dans le Maine-et-Loire durant 9 ans mais, suite aux aléas de la vie, je dus prendre la décision douloureuse de fermer mon cabinet pour suivre mon mari en Bretagne. J’ai alors travaillé dans l’agro-alimentaire, mettant de côté mes idéaux et mes rêves… En 2011, j’ai à nouveau choisi de me consacrer à ma passion, à ce qui m’épanouit et pour quoi je suis faite : l’aide à la personne à travers mes capacités en parapsychologie. N’étant que locataires à ce moment, mon époux et moi-même cherchions une maison à acheter. Dès lors que je vis « la maison bleue », je la reconnus : c’était elle et pas une autre, ici, à Marpiré et pas ailleurs. Mon choix fut conforté par l’accueil si chaleureux de notre voisinage. Et quelques temps après, au cours d’une promenade, mes pas me conduisant à la Chapelle Notre-Dame de la Salette, j’appris avec beaucoup d’émotions les nombreuses guérisons qui s’y étaient produites. C’était un signe de plus, s’il en fallait, que je suis au bon endroit…